feat RJ King
(c) crédits images

Nom: Ayrton Prénom(s): Siméon, Quentin Surnom(s): Sims Âge et date de naissance: 24 ans, né en 2166  Origines: Françaises et Hollandaises Occupation: Serveur chez Starbucks Statut civil: Bisexuel célibataire Groupe: settler.


Veuillez écrire ici, en un minimum de 15 lignes, tout ce qui caractérise votre personnage, de son caractère à ses manies, en passant par ses goûts. Siméon est un jeune homme élancé d’un mètre quatre-vingt-six. Il ne passe pas vraiment inaperçu avec ses cheveux blonds et ses yeux noisettes remplis d’espiègleries. Et pour être honnête, il ne cherche pas non plus à s’effacer. Il n’a pas honte de sa jeunesse, n’a pas honte de ses origines. Pourquoi devrait-il avoir honte de toute manière ? Il n’est pas responsable des erreurs de leurs ancêtres. Il n’a même d’ailleurs jamais vu la Terre. A son plus grand regret. Cette planète ronde et bleue exerce sur une lui, une certaine fascination qu’il ne s’explique pas. Il se surprend parfois à rêver à la vie qu’il aurait pu avoir là-bas. Il n’est pourtant pas du genre nostalgique, ni même du genre à ressentir des regrets. Sa philosophie se rapproche d’ailleurs du fameux « Carpe Diem ». Vivre au jour le jour et advienne que pourra. Il n’est pas du genre à se prendre la tête pour un rien. Le stress, un état qu’il n’a que très peu côtoyé.

Il est rare de le voir anxieux ou même inquiet. Un sourire en permanence collé sur ses lèvres. Une lueur malicieuse au fond du regard, toujours une plaisanterie en tête qu’il s’empresse de faire partager avant qu’il ne la perde. Il garde une âme d’enfant malgré ses vingt-quatre ans. Il a oublié de grandir diront certain. Au plus grand désespoir de ses parents qui désespèrent de le voir devenir un adulte sérieux et responsable un jour. Mais après tout qu’est-ce qui l’empêche d’être responsable tout en gardant un esprit curieux, ouvert sur toute sorte de nouvelles découvertes ? Il n’y a pas de mode d’emploi du parfait adulte. Et lui, il aime sa vie telle qu’elle est. Il veut en profiter un maximum avant qu’il ne soit trop tard. Faisant la fête plus que de raison. Allant de conquête en conquête. Charmeur. Voilà ce qui pourrait définir Siméon avec une petite pointe d’arrogance qui le rend peut-être prétentieux aux yeux de certains. Mais il n’est pas prétentieux. Il a conscience au fond de la chance qu’il a.

Mais il aime jouer de son charme. Il aime savoir qu’il ne laisse pas indifférent. Qu’il fait rire. Il aime son côté boute-en-train qui le démarque des autres en quelque sorte. Mais ce n’est pas pour autant qu’il prend les autres de haut. Non, au contraire. Il n’est pas élitiste pour un sous. Plus on est de fous, plus on rit après tout. Il n’est pas méchant, il dégage juste une candeur parfois agaçante et en même temps relativement attendrissante. Il ne pense pas à mal lorsqu’il fait ses pitreries. Il ne pense qu’à s’amuser et ne voit pas le mal qu’il pourrait faire à se moquer de quelqu’un. Même s’il n’est pas réellement adepte des blagues qui font rire au dépend des autres. Il sera le premier à se tourner en ridicule. Et le premier à essayer de détendre l’atmosphère en cas de dispute. Il n’aime pas les conflits, il les a en horreur et il fera tout pour les éviter. Même si parfois, il n’y a pas d’autre alternative. Il préférera ignorer le problème et espérer que les soucis se résolvent tous seuls.

Il n’est pas non plus très courageux, ni même travailleur. Il se satisfait de peu. Du moment que ce qu’il a lui plait, qu’il fait ce qu’il aime et surtout ce qu’il veut. Même si parfois dans la vie tout ne se passe pas comme prévu. D’ailleurs, il a le chic pour se mettre dans les ennuis. Ne s’en rendant compte la plupart du temps que lorsqu’il est trop tard pour faire machine arrière. Heureusement que ses amis sont toujours là pour le tirer d’affaire. Que ferait-il tout seul ? Pas grand-chose en réalité. La solitude, il ne la supporte que difficilement. Mais il trouvera toujours un moyen pour la rompre ou pour s’occuper. Car s’il y a bien quelque chose qu’il déteste plus que tout c’est l’ennui. Toujours en mouvement, toujours actif. Ce qui explique peut-être son manque d’attention à l’école. Rester toute une journée assis sur une chaise sans bouger et sans avoir la possibilité de s’exprimer comme il le souhaite. A écouter des cours barbants et un professeur ennuyeux.

Il préfère de loin faire l’école buissonnière ou apprendre le plus de choses possibles sur leur arrivée sur Vesta. Il n’a peut-être jamais connu la Terre et il ne se souvient même pas des navettes qui leur ont fait quittées leur ancien monde. Et pourtant, il s’intéresse de près à leur monde perdu et à la façon dont ils survécurent dans les navettes. Il connait tout de leur expédition néanmoins, la perte de vaisseau mère et d’une navette annexe. Pour ne rester à la fin que huit navettes. Plus qu’un intérêt, cela relève sans doute de la passion. En connaître le maximum pour sa propre culture personnelle. Il n’y a là rien de réellement explicable au fond. Il n’est pas seulement qu’un garçon, un peu trop indifférent à ce qui l’entoure parce que n’est pas réellement le cas. Il n’est pas indifférent, juste qu’il ne partage pas la même vision des choses que la plupart des personnes « sérieuses ». Il adopte un mode de vie totalement épicurien et ce n’est pas pour plaire à tout le monde. Mais ce genre de chose ne l’affecte que peu. Il se moque bien de ce que l’on peut penser de lui. Du moment que lui se sent bien avec son groupe d’ami, c’est tout ce qui compte.


Vous considérez-vous plutôt Conservateur ou Novateur ? Souhaitez-vous reprendre la société terrienne ou en créér une nouvelle, avec de meilleures valeurs ?


Avez-vous déjà considéré la possibilité qu’une autre civilisation existe sur Vesta ?


Souhaitez-vous que la colonie s’étende et découvrir le reste de la planète ou vous sentez-vous mieux à Ground Zero ?

Ecrivez ici l'histoire de votre personnage, présentée comme vous le souhaitez, en un minimum de 30 lignes. Un cri. Ce fut le premier son qu’émit Siméon en venant au monde. Une chose somme toute naturelle pour un nouveau né. L’air entrant dans ses poumons pour la première fois, les gonflants pour lui permettre de respirer. Et il fait entendre toute la puissance de ses cordes vocales. Pour le plus grand plaisir de ses parents. Il représente l’espoir, un renouveau. Une nouvelle génération pour un monde et un système nouveau. Son père croit dur comme fer à un avenir radieux et prometteur. Izaäk n’a pas hésité une seconde lorsqu’il a fallu quitter la Terre pour tenter de rejoindre Vesta. Même si rien ne dit que la planète sera habitable. La Terre ne pouvait plus les accueillir plus longtemps de toute manière. Il a convaincu son épouse Céleste de faire le voyage avec lui. Ainsi qu’avec leur famille. Du moins, les biens portants. Ils durent se résoudre à en abandonner certains, trop faibles pour faire le voyage ou trop peu optimiste pour tenter le voyage. Pourtant, il fallait se rendre à l’évidence, la Terre avait fini par les empoisonner. Il n’y avait plus d’espoir. Izaak n’avait plus d’attache, ses parents avaient péris au cours d’une catastrophe naturelle. Céleste fut plus difficile à convaincre. Sa sœur Adèle avait refusé de partir. Elle avait décrété qu’elle ne quitterait pas leur mère malade qui ne pouvait pas faire le déplacement. Une accusation dans sa voix ? Un jugement lorsqu’elle avait appris que Céleste et Izaak partiraient en abandonnant Madeleine pour fuir vers un espoir d’avenir ? Sans aucun doute. Et la culpabilité l’avait souvent envahi au cours du voyage. Elle avait souvent pensé à sa sœur et à sa mère restées sur Terre. Mais elle voulait un avenir, elle voulait fonder une famille avec Izaak. Et quel avenir s’offrait à eux sur cette planète en destruction ? Leur monde qu’ils avaient pollué, grignoté jusqu’à la moelle. Jusqu’à la rendre faible et incapable de les supporter plus longtemps.

Il n’y avait pas d’autre alternative que la fuite. Céleste avait fini par rejoindre le point de vu de son époux qui en tant que scientifique devait tout de même savoir de quoi il parlait. Elle n’était pas naïve et voyait également ce qui se passait autour d’elle. Mais devoir abandonner sa famille avait été un déchirement bien plus profond que ce qu’elle laissait paraître. Elle garda néanmoins le sourire, refaisant sa vie, se créant une routine à bord du vaisseau Uranus. Celui regroupant les Européens encore vivants et ayant voulu quitter la Terre. Oubliant ou plutôt essayant de tourner la page en exerçant son métier avec passion. Comme elle l’avait toujours fait. Et des malades, des blessés, il y en avait toujours. Il y avait toujours besoin d’un bon pédiatre. Les enfants grandissaient et si au début le taux de naissance à bord des navettes fut dérisoire, avec le temps, il grimpa petit à petit. Laissant place à une nouvelle génération d’humains. Pas des terriens parce qu’ils n’étaient pas nés sur Terre. Mais pas non plus complètement des Vestiens puisqu’ils n’avaient pas encore atteint Vesta, leur nouvelle planète, ou du moins, l’objectif qu’ils s’étaient fixés d’atteindre.

L’espoir était bien présent et chaque nouvelle naissance le prouvait. Tout en créant une nouvelle inquiétude. Chaque personne en plus à bord des navettes représentait un taux d’oxygène et des vivres en moins. Plus de monde à bord donc une consommation plus importante des denrées. Mais il semblait que tout avait été calculé en conséquence. Et puis, il arrive que le temps soit long sur un vaisseau, aussi vaste soit-il. Une famille, les Ayrton en avaient toujours rêvé. En avoir une rien qu’à eux un jour. Mais Céleste sur Terre avait essayé plus d’une fois. Encore et encore. Sans résultat. Alors lorsqu’elle découvrit sa grossesse, elle couva plus que de raison le petit-être qui grandissait en elle sous le regard admiratif d’Izaak qui osait à peine y croire également. Alors ce cri, bien réel les ramena à la réalité des choses. Les força à constater par eux même qu’ils ne rêvaient pas et qu’ils étaient bien parents. Après tant d’années à essayer en vain. Cet enfant était un cadeau du ciel et ils le chériraient plus que tout. Faire en sorte de lui apporter une vie meilleure que celle qu’ils avaient eux jusqu’à présent. Construire un monde pour que ce petit bout d’homme puisse grandir sans craindre la destruction de son monde. C’était tout ce qu’ils souhaitaient qu’il grandisse avec insouciance avant de devenir un homme responsable. Un adulte impliqué dans la vie de leur nouvelle communauté.

Evidemment, tout ne se passa pas comme prévu. Sur les dix vaisseaux partis au départ, seul huit se posèrent sur Vesta. Les six premiers mois furent sans doute les plus long. Poser les bases de leur nouvelle nation. Tout construire de leur main. Découvrir une nouvelle planète et sa végétation. Reprendre un système similaire à celui de la Terre tout en éradiquant les différences sociales. En créant un monde plus juste pour l’épanouissement de tous. Mais quoiqu’on en dise les différences sociales existeraient toujours plus ou moins. Même si le système faisait que personne n’avait plus que ce dont il avait besoin. Des écoles, des hôpitaux, tout fut construit. La technologie égale à celle de la Terre. Les chercheurs et les scientifiques toujours en quête d’amélioration. Et puis, surtout, il y eu la décongélation des embryons. Ces bouts d’humains et ces animaux terrestres congelés pour être réimplantés sur Vesta. La plus grande fierté d’Izaak qui avait participé avec ferveur au projet pour sauvegarder l’humanité un temps soit peu. Et pendant toutes ses années, Siméon grandit. Devenant un petit garçon espiègle et intrépide. Curieux de certaines choses mais facilement ennuyé par d’autres.

Il se révéla bien vite que l’école n’était pas son fort. Au grand dam de ses parents qui espéraient tant pour leur fils. Leur unique enfant. Ils avaient pourtant essayé d’offrir un petit frère ou petite sœur à leur fils mais sans résultat. Ils avaient évidemment pensé à l’adoption d’un Starchild mais Siméon était un enfant turbulent qui les occupait déjà bien assez. En plus de leurs travails respectifs. Et un second enfant aurait sans doute était une charge trop lourde. Même si l’idée pourrait leur traverser à nouveau l’esprit lorsque Siméon aurait quitté la maison et pris son indépendance. Mais c’était sans compter sur les frasques plus que nombreuse du gamin. Enfant inattentif à l’école et aux questions innombrables sur la Terre et la vie qu’il y avait put avoir là-bas auparavant. Le tout couplé avec sa malice naturelle. Incapable de tenir en place. Toujours à devoir trouver une bêtise à faire. Même si la plupart du temps, ce n’était pas voulu.

Ce n’était pas fait exprès, il se retrouvait bien malgré lui, la victime de sa curiosité. Se retrouvant mêlé à des histoires le dépassant. Ou alors allant dans des endroits où il n’avait pas lieu d’être. Comme cette fois où il s’était éloigné de Groud Zero avec un groupe d’amis pour faire du camping en pleine campagne. Un peu d’alcool. Peut-être plus de raison, il est vrai. Un peu de drogue apporté par on ne savait trop qui. Mais c’était pareil, on ne s’amusait pas pareil sans. Et puis, pas très loin de là, un troupeau d’Apceri. Les animaux et Siméon, ce n’est pas une grande histoire d’amour. Sa mère a pourtant un chat. Une espèce de grosse carpette orange du nom de Pollux. Un monstre avec tout un tas de poils et de griffe qui gronde chaque fois que Siméon l’approche et le griffe dès que le jeune homme tente de le caresser. Chose qu’il a depuis longtemps renoncer à faire. Pourtant, il n’en a pas toujours été ainsi. Mais à force de se faire tirer la queue, enfermer dans un placard sombre, se faire couper les moustaches ou juste transformé en testeur de nouvelles inventions made in Siméon, le matou à vite compris qu’il valait mieux se tenir loin si il voulait avoir une chance de survit conséquente. Et pourtant, jamais le gamin ne pensait à mal, jamais, il ne voulait faire mal à la pauvre bête. C’était juste un moyen de chasser l’ennui de la maison lorsqu’il était enfant. Jouer avec le chat… A sa façon.

Alors cette soirée en plein air, n’était qu’une nouvelle façon de s’amuser avec toute l’insouciance de l’adolescence. A dix-huit, on est encore un peu bête. On ne réfléchit pas toujours à ce que l’on fait. Et sous l’emprise de l’alcool et de la drogue, aller taquiner un Apceros ne paraît pas dangereux. Au contraire, ça paraît même le jeu le plus amusant du monde. Surtout en le voyant fuir en le voyant approcher en courant. Lui courir après et se tordre de rire en l’entendant beugler de trouille. Qui a dit que l’alcool rendait intelligent ? Personne. Mais faire le pitre pour épater la galerie, tout prendre au jour le jour. Tout prendre avec insouciance et avec le sourire. C’est Siméon. Pourtant, il n’a pas le fond méchant, il ne pense pas à mal la plupart du temps. Il ne réfléchit juste pas toujours. Voir rarement en réalité. Et il exaspère la moitié des personnes qui l’entourent. Mais lorsque l’alpha du troupeau commence à charger, on ne rit plus. On prend ses jambes à son cou et on espère être suffisamment rapide pour ne pas se prendre un coup de corne et se faire piétiner. Siméon fut rapide. Un de ses amis un peu moins et les côtes cassées qui en résultèrent furent un mal plutôt bénin par rapport à ce qui aurait pu réellement se produire.

Ce fut la première grosse bêtise de Siméon. Sans doute pas la dernière. Son côté aventureux, curieux, le poussant à tester ses limites. Et en même temps, en s’assurant d’avoir toujours son petit confort pas très loin. Ses parents ne purent qu’exprimer leur déception face à l’immaturité flagrante de leur fils. Mais il était encore jeune après tout. Il avait encore le temps d’évoluer. Mais le temps ne leur donna pas raison hélas. Conservant son état de jeune écervelé. Sans aucun goût pour les études, il décida très vite de ne pas continuer après le lycée. Restant inactif un long moment chez ses parents à profiter de la vie jusqu’à ce que ces derniers excédés par son comportement ne finissement par le mettre à la porte. L’obligeant à devoir se débrouiller tout seul pour la première fois de sa vie. Il chercha longtemps quoi faire pour gagner sa vie avant de postuler au Starbucks comme serveur. C’était l’un des endroits qu’il côtoyait le plus avec certains bars et boites de nuit de Ground Zero. Mais son sourire en permanence collé aux lèvres et sa gentillesse naturelle firent qu’il s’adapta bien mieux à son nouveau travail que ne l’avait imaginé ses parents. Qui malgré leur décision continuaient tout de même de le surveiller du coin de l’œil au cas où.

Aujourd’hui, c’est un jeune homme épanoui qui ne pense qu’à une chose, faire la fête et profiter de la vie. Son travail lui convient plus que bien, il a été logé dans le secteur réservé à son emploi et son petit appartement lui convient très bien même si parfois, il se trouve un peu à l’étroit. Surtout lorsqu’il veut inviter des amis. C’est tout de même moins grand que ce qu’il avait lorsqu’il était chez ses parents. Néanmoins, il ne manque de rien. Et il trouve toujours le moyen de s’amuser et de garder le sourire et son optimisme parfois légèrement navrant. Sans pour autant s’intéresser plus que cela à la politique de sa ville. Le regard souvent tourné avec une pointe de rêverie vers le ciel, ses trois lunes, son soleil et au loin quelque part à des années lumières d’ici, leur planète d’origine, la Terre.

Te voilà prêt à jouer sur le forum mais avant toute chose, voici quelques informations essentielles. Tu peux tout d'abord aller recenser le métier de ton personnage et demander ton rang. Afin de t'intégrer au forum, nous te conseillons de poster une fiche de liens et une fiche de sujets si tu le souhaites. Tu peux également poster le téléphone de ton personnage ici afin de jouer tes liens autrement qu'en rps. Une partie t'est mise à disposition afin d'écrire sur ton personnage en dehors des rps, c'est par ici. Si tu souhaites poster un scénario, c'est par là. Tu peux également prendre connaissance du système de points, cela pourra t'aider à gagner le titre de membre du mois. Penses également à prendre connaissance du système de suppressions pour éviter toute mauvaise surprise. Si jamais tu dois t'absenter, c'est ici qu'il faut poster.
Enfin, n'oublies pas de te détendre un peu en passant par le flood, les jeux ou la chatbox. Tu peux soutenir le forum en votant toutes les deux heures sur le topsite obsession et bazzart et en venant réclamer tes points ici. Pour finir, si tu as la moindre question, le moindre problème ou juste envie de papoter, n'hésite pas à contacter un membre du staff, nous sommes là pour ça.
Sur ce, nous te souhaitons bon jeu sur GZ